2025 ready
Ce début d’année ne ressemble en rien aux autres. Et pourtant, je sens qu’il est le début d’une des aventures les plus vertigineuses de ma vie.
Cette année je me lance enfin dans l’entrepreneuriat. Et je mets enfin en place le format de vie que je prépare depuis plusieurs années. Je n’ai (presque) plus peur.
Je suis ready.
Cela fait bien longtemps que j’ai arrêté les résolutions mais j’aime bien l’idée de poser une intention. De pratiquer la visualisation.
Poser les bases de l’année à venir. L’écrire pour le graver.
Alors voilà, je viens écrire.
Car cette année pour l’instant j’ai plutôt agi que écrit.
Déjà, le 31 décembre, je me suis autorisée à ne pas aller le fêter. Libération, après excuses auprès de ceux avec qui on le fête toujours si bien. J’ai la tête ailleurs. A la place, j’ai fait mon vision board sur Pinterest au coin du feu. Je me suis inscrite à un 10Km fin Mars, rassemblé quelques motivés , et organisé quelques jours à Lisbonne fin janvier. L’autre ville dans laquelle je ne pensais pas me rendre si souvent en rentrant vivre à Toulouse.
Du coup, je n’avais jamais démarré un 1er Janvier en si bon état et les idées aussi claires.
Et puis j’ai repris mes activités, le sport et le yoga, démarré une détox douce pour offrir un coup de neuf à mon corps, et avais déjà organisé de démarrer l’année à Barcelone. (Depuis que j’y suis allée en janvier dernier j’adore Barcelone en hiver, plus calme et authentique et toujours aussi vibrante).
En fait, j’ai mis en pratique tout ce que j’ai appris en naturopathie, biohacking et nutrition ces dernières années pour démarrer l’année du bon pied et avoir tous les outils pour m’aider à me lancer dans l’entrepreneuriat, sans m’y brûler les ailes. On appelle ça le “slowpreuneuriat”. Un terme qui me plait beaucoup et dont j’aimerais beaucoup parler sur ce “labo” dédié au slow living dans le monde moderne en 2025.
Nouvelle année donc.
Un vrai nouveau départ.
Tout cela n’arrive pas sans challenge. La plupart d’ordre perso que je ne souhaite pas forcément étaler, mais qui doivent rentrer dans la balance car ils nécessitent forcément une dose de “force vitale” et d’énergie supplémentaire pour tout mener de front, sans oublier celui de tout recommencer à bientôt 40 ans.
Changer de vie à 40 ans.
2025, c’est l’année de mes 40 ans. Alors bien sûr que ça joue un énorme rôle. La beauté du temps qui passe, c’est qu’il nous rappelle qu’on a qu’une vie et qu’il faut vraiment en profiter, et surtout la vivre pour nous même et pas pour les autres. C’est le petit coup de pression qui gèle la peur et qui fait avancer.
Avant mes 30 ans, j’ai eu le même coup de stress, qui m’a mené à Londres pendant 8 ans. L’une des meilleures décisions de ma vie.
Sauf qu’avant 30 ans on est encore dans la catégorie “jeune”.
On nous dit que “C’est le moment ou jamais de le faire”. Avec ce sous entendu que c’est justement LE bon moment. Mais qu’après… C’est foutu.
Moi même je l’ai souvent utilisée cette phrase assez clichée.
Donc voilà. Je suis dans le après. Et pourtant, je n’ai pas l’impression que c’est foutu. Bien au contraire. J’ai un peu plus d’argent de côté qu’avant. Je suis bilingue. J’ai un peu plus de maturité. Je suis tombée 2/3 fois pendant ma trentaine (Voir même 5/6 fois). Et je me suis relevée à chaque fois. Et à chaque fois plus forte il me semble.
Il y a aussi le sujet des enfants. Qui ne me concerne pas puisque je n’en ai pas et donc sur lequel je n’ai pas de retour d’expérience à partager. Je constate qu’avoir des enfants c’est un frein pour certains et un moteur pour d’autres. Et je ne compte plus ceux qui en ont eu mais n’ont plus la structure familiale qui va avec me dire combien c’est génial, mais combien il faut que je profite de cette liberté.
En tout cas, changer de vie à 40 ans, pour l’instant, j’ai l’impression que le frein est surtout dans la tête. Et dans les yeux des autres.
2024. Focus naturo pour solidifier un virage.
2025. J’ai toutes les clés pour avancer et ouvrir les prochaines portes.
Il y a 1 an, je démarrais l’année à Barcelone en vue de préparer ma vie rêvée. Cette année je termine cet article au même endroit. La boucle est bouclée. Il n’y a plus qu’à passer à l’action.